Ajourd’hui 7 octobre, cela fera un an qu’a rebondi avec une vigueur nouvelle un conflit qui mine le Proche-Orient et le monde entier depuis des décennies.
Il a connu tellement d’épisodes, escalades, instrumentalisations, événements collatéraux, intervenants et légitimations multiples, et surtout de drames et de victimes, que nul ne sait plus qui peut l’arrêter et comment.
Et pourtant, il faut que cela s’arrête.
De sa solution dépend en grande partie que d’autres conflits, moins chargés de symboles et d’années, mais plus graves parfois en nombre de victimes, trouvent aussi la voie d’une solution. Le courage a valeur prophétique d’exemplarité plus que que la poursuite suicidaire d’une spirale de violence.
Tous ceux qui se sentent solidaires des parties en conflit portent une responsabilité d’autant plus grande de chercher et trouver les voies d’une solution qui mène à une paix juste et durable, et non celle d’une paix éphémère qui résulterait d’un écrasement temporaire de l’autre par les armes et l’horreur.
Ce lundi 7 octobre, nous sommes appelés par le Saint-Père à une journée de prière et de jeûne.
Que Dieu nous désarme les premiers pour inventer la Paix !
Michel, administrateur diocésain